Micode maitrise parfaitement son sa communication, il montre ce qu'il veut qu'on voie :
Son univers est soigné presque "corporate"
Il comminique peu sur sa vie perso, ce qui rend son image peu authentique par moment.
Certains reprochent à Micode :
D’avoir été rapidement propulsé dans les médias traditionnels (France Inter, collaborations avec Le Monde…) alors que d’autres créateurs tout aussi compétents n’ont pas cette visibilité.
D’être parfois perçu comme "institutionnel", ce qui tranche avec l’esprit libre et indépendant du web.
Même s’il vulgarise très bien :
Certains contenus peuvent passer sous silence des aspects plus techniques ou nuancés.
Il peut être accusé de survoler certains sujets pour garder l’attention du public.
Exemple : vidéos sur le “dark web” ou les hackers qui peuvent parfois flirter avec le sensationnalisme.
Même s’il défend l’éducation numérique :
Sa marque de vêtements Foreach reste un produit commercial, avec des marges.
Certains se demandent si l’engagement éducatif n’est pas aussi une stratégie marketing.
Enfin, malgré une posture d’indépendance :
Il a reçu des financements ou partenariats d’acteurs du secteur tech
Cela soulève des questions : jusqu’où peut-on rester critique quand on dépend de certains sponsors ?
Micode reste un créateur influent, compétent et engagé. Mais il n’échappe pas aux enjeux classiques des influenceurs :
Gestion de l’image
Rapport à l’argent
Choix éditoriaux
Influence sur une audience jeune et non experte